Titre
Ribaudequin
Description
Nom de l'objet : Ribaudequin / Orgue
Numéro d'inventaire : ART-1988-005
Ancien numéro d'inventaire : 58
Description de l'objet
Description : ce ribaudequin, également appelé orgue, possède douze tubes. L’affût est une reproduction moderne. Les canons sont présentés en éventail et sont maintenus par rivetage du fond sur une bande de fer. Afin d'assurer une meilleure stabilité lors du tir, des rivets les maintiennent également en place sur la plaque de mise à feu, et sur la plaque peinte ; l'un d'entre eux a même été maintenu à l'aide d'une cale afin de limiter tout risque de mouvement. Au niveau de la culasse, une plaque rainurée recouvre les canons, tenant lieu de bassinet pour l'ensemble des tubes ; cette rainure est percée à intervalles réguliers pour permettre une communication avec la lumière. Une plaque ornée de rinceaux découpés fait le lien entre la plaque de mise à feu et la plaque peinte. Cette dernière présente des traces de motifs peints. Les canons, qui s'amincissent progressivement, s'évasent de nouveau vers la gueule ; ils sont peints alternativement en vert et en rouge, et sont de section octogonale, puis ronde, puis de nouveau octogonale (transformation qui suit l'amincissement et l'élargissement du canon). Des incisions circulaires décoratives, avant leur élargissement à la gueule, sont visibles.
Utilisation :
Matériaux : allaige ferreux, bois, pigments
Technique : fonte, gravure, peinture
Mesures : 66,8cm (longueur du canon le plus long), 1,9cm (diamètre moyen à la bouche)
Origine : aire germanique
Datation : XVI ͤ siècle
Données administratives
Date d'acquisition : 22 - 23 avril 1988
Mode d'acquisition : achat
Provenance : Hermann Historica
Localisation de l'objet : salle 4/1 : tour d'artillerie, 3e étage
Propriétaire : SARL Kléber Rossillon
Références :
Numéro d'inventaire : ART-1988-005
Ancien numéro d'inventaire : 58
Description de l'objet
Description : ce ribaudequin, également appelé orgue, possède douze tubes. L’affût est une reproduction moderne. Les canons sont présentés en éventail et sont maintenus par rivetage du fond sur une bande de fer. Afin d'assurer une meilleure stabilité lors du tir, des rivets les maintiennent également en place sur la plaque de mise à feu, et sur la plaque peinte ; l'un d'entre eux a même été maintenu à l'aide d'une cale afin de limiter tout risque de mouvement. Au niveau de la culasse, une plaque rainurée recouvre les canons, tenant lieu de bassinet pour l'ensemble des tubes ; cette rainure est percée à intervalles réguliers pour permettre une communication avec la lumière. Une plaque ornée de rinceaux découpés fait le lien entre la plaque de mise à feu et la plaque peinte. Cette dernière présente des traces de motifs peints. Les canons, qui s'amincissent progressivement, s'évasent de nouveau vers la gueule ; ils sont peints alternativement en vert et en rouge, et sont de section octogonale, puis ronde, puis de nouveau octogonale (transformation qui suit l'amincissement et l'élargissement du canon). Des incisions circulaires décoratives, avant leur élargissement à la gueule, sont visibles.
Utilisation :
Matériaux : allaige ferreux, bois, pigments
Technique : fonte, gravure, peinture
Mesures : 66,8cm (longueur du canon le plus long), 1,9cm (diamètre moyen à la bouche)
Origine : aire germanique
Datation : XVI ͤ siècle
Données administratives
Date d'acquisition : 22 - 23 avril 1988
Mode d'acquisition : achat
Provenance : Hermann Historica
Localisation de l'objet : salle 4/1 : tour d'artillerie, 3e étage
Propriétaire : SARL Kléber Rossillon
Références :